Lorsqu’un individu meurt, il perd sa matérialité et de là son interface avec le monde matière. La pensée, qui est logée dans la dimension quantique, persiste. Ce qui lui fera défaut, ce sont les informations en provenance de la matérialité. Par contre, rien n’exclut qu’elle ne puisse, dans cet état, renouer le contact avec des mémoires perdues.
Il ne faut rien de plus pour illustrer la persistance de notre pensée au-delà de notre mort physique.